Le spectacle de moi :

Je l'aime

Quand je parle de mon spectacle...

Eh ben t'as qu'à venir le voir non mais dit oh ! Tu voudrais pas non plus que je te le raconte ?

 En plus c'est pas une histoire alors on ne peut pas le raconter.

Mais la seule chose que je peux te donner c'est un truc super important :

De l'amour sur tes pieds !

ET Quand mon père et ma mère ILS EN parlenT, bizarrement j'aime bieN Ça...

Langue paternelle

Solo clownesque... à plusieurs.

M[u]stiK se fabrique en relation forte avec le public. 

A la fois drôle et cruelle, elle jongle entre le texte de Fabien ARCA et l'improvisation pure.

Laissant ainsi toute la place aux interactions, aux rires des vieux enfants et des jeunes adultes.


Avec l'insolence et le lâcher prise de l'enfance, M[u]stiK triture les trois notions qui régissent la vie : l’amour, le temps et la mort.


Langue maternelle

tout public... ou presque. 

M[u]stiK, construisant sa vie, tente de créer des passerelles entre les enfants d'aujourd'hui et ceux que nous étions hier, ceux qui nous habitent encore.

Vous serez choqué, attendri, ému et touché,

quelque soit votre âge !


M[u]stiK démontre que l’enfance est une période charnière,  où l’on considère souvent, à tort, que l’enfant est possession de l’adulte.


En tant qu'adultes, sommes-nous aussi de bons parents pour nos "enfants intérieurs" ?


BOUSparl'​de mon spectacle :

 M[u]stiK est là, seule. Ou presque.
Elle est entourée de tous ceux qui sont dans sa tête. Ils parlent tous beaucoup. C’est drôle mais c’est un peu fatigant quand même.
Elle se pose beaucoup de questions, des questions qui lui sont complètement existentielles.
Pas facile de vivre aussi nombreux dans une si petite tête… alors pour y arriver, elle se donne de l’amour ; enfin surtout à ses pieds…

Mais c’est presque pareil !

Lui c'est Bouse et c'est mon grand frère...

La belle affiche dessinée
 par ma copine Eva.

Cher programmateur !
J'ai 2 ou 3 trucs à te dire tu sais...

"Le théâtre raconte l’état du monde, le Clown lui, raconte l’état de l’homme."

Paul-André SAGEL